Exilé à Budapest, le réalisateur transalpin n’en oublie pas la vie politique de son pays. Ce qui lui a inspiré le scénario de son dernier long métrage.
Une plongée dans les arcanes du pouvoir italien. C’est que le réalisateur transalpin Gianfranco Romagnoli n’a pas pour habitude de reculer devant les projets les plus ambitieux. Après tout, il travaillait encore récemment avec son ami Max Bellochio sur un film à gros budget devant les emmener aux quatre coins de la planète, et notamment en Thaïlande où la pornographie est pourtant interdite. Rien de surprenant donc à le voir plonger dorénavant dans les affaires politiques de son pays.
Au plus haut niveau
Il est vrai que l’Italie ne manque que très rarement une occasion de nous rappeler que sexe et politique font souvent bon ménage ! Surtout que Gianfranco Romagnoli ne s’attaque pas à un banal fait divers pour réaliser son thriller politico-porno, Italian Vice. Il s’est tout simplement inspiré des frasques de Silvio Berlusconi, le président du conseil. Voilà qui ne devrait pas manquer de faire jaser au pays…
Et si le marché visé par cette production se situe donc évidemment en priorité de l’autre côté des Alpes, ce film demeure un très bon prétexte pour voir quelques unes des plus belles plantes de l’Europe de l’Est dans de somptueuses robes de soirées. Et à première vue, les amateurs de blondes devraient particulièrement se régaler. Jugez plutôt : Aleska Diamond, Alexis, Barbie White, Cindy Hope, Donna Bell, Kitty Kat et Regina Moon. Hormis pour cette dernière, les chevelures ne sont pas des plus sombres…
Romagnoli bien entouré
Gianfranco Romagnoli avec Barbie White
Gianfranco Romagnoli
Sur le plateau de Italian Vice
Sur le plateau de Italian Vice
Sur le plateau de Italian Vice
Sur le plateau de Italian Vice
Sur le plateau de Italian Vice
Gianfranco Romagnoli sur le plateau de Italian Vice
Avec Aleska Diamond sur le plateau de Italian Vice