Au pays du soleil levant, beaucoup de jeunes filles rêvent de devenir actrice porno, pour toucher du doigt les privilèges et la célébrité des AV idols.
C’est bien connu ; les égéries de l’industrie AV (Adult Video) japonaise jouissent d’un statut particulier et sont presque considérées comme des déesses de l’entertainment. Les techniciens n’ont quasi pas le droit de leur adresser la parole sur les plateaux de tournage et elles sont largement mieux rémunérées que leurs consœurs européennes et américaines. Pour ne rien gâcher, leur popularité dépasse volontiers la sphère des amateurs de porno. Elles apparaissent souvent à la télé, prêtent leur frimousse à une multitude de produits dérivés (calendriers, posters, …), s’adonnent à la chanson, ou encore orientent aisément leur carrière vers le cinéma traditionnel (comme Asami chez les allumés de Sushi Typhoon).
C’est donc d’autant plus rare que des actrices de la péninsule tentent une percée à l’étranger, où elles sont moins bien considérées et gagnent peu en regard de leur cachet habituel. C’est néanmoins ce que vient de faire la sublime Marika Hase, en débarquant sur le marché américain, tournant rapidement dans toute une série de productions asiatophiles (Up My Asian Ass, Raw 11, Asian Fuck Faces 2, …) pour des boîtes comme Jules Jordan Video et Evil Angel.
Marika Hase (Hot Vidéo)
Pour marquer l’événement, nous avons décidé de la placer en couverture de notre magazine, la belle minaudant en kimono dans les pages du Hot Vidéo N°258 (décembre 2012-janvier 2013). Une Japonaise pure souche en cover, ce n’était plus arrivé depuis le Hot Vidéo N°76 (mai 1996) et son dossier X business asiatique. A l’époque, c’était la craquante Hitomi Nakamura qui était au centre de nos attentions.
De nos jours, un constat s’impose. Malgré une poignée de tabous incompréhensibles pour nous Occidentaux (entre autres, l’interdiction d’exhiber les poils pubiens), les Japonais ont une approche de la sexualité (et donc du hard) beaucoup plus libérée que par chez nous.
Il se dit qu’en moyenne 6000 nouvelles jeunes filles débarquent dans le porno chaque année. Au vu du nombre de candidates, la concurrence devient féroce et les critères de sélections plus rigoureux. Et à ce niveau, même si le physique prime sur le reste, un diplôme de haut niveau peut être exigé par les producteurs. En effet, chaque détail a son importance pour une clientèle qui s’avère être de plus en plus exigeante.
Le romancier Atsuhiko Nakamura ponctue le tout : « j’avais rencontré une jeune nana qui bossait dans une banque. Déçue par son emploi au bout de deux ans, elle a décidé de passer au porno et m’a affirmé qu’elle était plus que satisfaite de son travail actuel. »
Achetez le Hot Vidéo N°258, avec la divine Marika Hase en cover.