Et allez ! Dès le 13 au soir, parfumeries, bijoutiers et autres fleuristes vont être pris d’assaut par de charmants maris qui, juste avec l’objectif de mettre une cartouche à madame au cours de la soirée, vont claquer le reste de leur salaire, voire prendre un crédit sur plusieurs générations…
— "Tiens ma chérie… Joyeuse Saint-Valentin !
— Mais, mon amour, c’est trop gentil, il ne fallait pas, tu as dû te ruiner…"
Voilà le style de dialogue auquel nous avons tous été, un jour ou l’autre confrontés, en ce funeste 14 février qui en aura épuisé de pauvres et innocents comptes en banque de maris amoureux.
Retrouvez la suite de cet article dans le magazine Tiffany Leiddi : "Aujourd'hui, je ne pense qu'à mon plaisir !"
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